Ketsueki Akueikyou (Terminé)

Prénom et Nom :
Ketsueki Akueikyou, car, sur mon passage, je déverse le sang de mes adversaires et j'exerce ma mauvaise influence.

Surnom :
Tsuki

Âge :
Inconnu

Rang :
La Malédiction

Race :
Démonne

Pouvoir :
Se transforme en chat noir aux yeux rouges.

Arme :
Ses bras fantômatiques et une simple dague

Mental :
Ketsueki adore s'amuser. Que se soit en massacrant des gens ou en dansant comme un folle. Au combat, Tsuki est cruelle et sans pitié. Si elle sait qu'elle à l'avantage, elle n'hésitera pas à faire souffrir le plus longtemps possible sa victime. Si au contraire, elle voit qu'elle aura quelque difficulté, elle ne perdra pas son temps à faire souffrir, elle fera tout pour éliminer l'adversaire le plus rapidement possible. Avec ses victimes, Ketsueki prend un air froid, maléfique, elle ne sourit que lorsqu'elle atteind son ennemis ou pour lui faire peur. Avec les démons, elle est assez sympathique. Parfois souriante, amusante ou sérieuse, mais elle reste une grande...coureuse de jupon ? Elle aime bien flirter, mais elle sait tout de même se contrôler. Reste qu'elle n'a pas toute les connaissances du monde, vu qu'elle a grandit d'un coup, mais cela dois faire au moins un ou deux siècle qu'elle erre avec Laures Sébastian Cian, un démon ami. Donc elle en connait tout de même, mais il lui reste beaucoup de chose à apprendre.

Ce qu'elle aime:
Elle les grasse matiné, ls sucreries et la massacret. Elle apprécit aussi Sébastian.

Ce qu'elle déteste:
L'humiliation, la défaite.


Physique :
Ketsueki a des cheveux noirs mi-long, dépassant un peu ses épaules. L'arrière est un peu relevé ce qui ressemble unp eu à des oreilles de chat. Ses yeux sont bleu-gris encadré par deux rangé de long cils noirs. Dépadement son humeur, Ketsueki entoure ses yeux d'une couleur, bleu ou rouge. Sous ces derniers existe un nez fin et sans importance qui trône au dessus de lèvres pulpeuse et rarement recouverte par une quelconque couleur artificielle. Le buste à Tsuki n'a rien d'exeptionnel dans ce monde où tout le monde est parfait. Une poitrine ronde et soutenu et un ventre plat. Quant à ses jambes elles sont longue et élancé, mais pas souvent à découvert. Sinon, elle a des mains douces àux doigts de pianiste. Sur son dos, Ketsueki a un tatoo sur son omoplate droite et elle l'adore. Il représente un crâne entouré d'un serpent. Enfin, elle ne possède aucune cicatrice.

Particularité::
Les particularités physique de Ketsueki sont...spéciale. Étant née par la volonté d'une quelconque divinité, elle a plusieurs tour dans son sac. Dans son dos, il existe croyez le ou pas, deux bras fantômatiques. Ces bras ne peuvent ni être vu, ni être touché et si vous tentez de la trancher, il se reformeront tel la brume du matin. Ces bras composé de poignets et de mains, bien sûr, on une grande force. Autre particularité ce serait cette petite cavité dans le palais. Dans cette cavité existe un poison mortel qui agit très rapidement. Seulement, il existe des survivants de ce poison, ils tombaient uniquement malade pendant quelque minutes ou au pire pendant quelque jours. Ainsi, Ketsueki peut rendre sa salive empoissonnée.

Histoire :
Avant de pouvoir vous racontez ma vie, il faut d'abord que je vous raconte la raison de mon arrivé. Je ne suis pas née d'une relation charnelle, c'est pourquoi il vous faut comprendre ma venue au monde.

Autrefois, il existait un village peuplé d'une trentaine de civils. Son emplacement avait été choisit après grande réflexion; près d'une rivière aux eaux pures et débordante de population marine, aux abord d'une forêt le bois servant à contruire les demeures comme à les réchauffer pendant l'hiver et pas très loin de la grande ville, mais assez reculé pour ne pas être affecté par la pollution que produisait les usines. Ce village se nommait Witchwood. Aujourd'hui, ce simple nom donne d'horrible frissons. Du moins, aux humains.

Bien que ce petit village n'était pas pollué par les grandes usines, un réel et dangereux poison y vivait. Aon nom ? La haine. On ignorait depuis combien de temps cela durait, ni pourquoi perdurait et encore moins sa raison d'être. Dans Witchwood, la haine agissait comme une puissante et irréversible malédiction. Les gens venaient s'installé le sourire aux lèvres face à l'endroit merveilleux avec l'ultime conviction de ne jamais quitter cet endroit et finissaient comme tout les autres: agressif et emplis d'une colère sans borne. Tous les habitants du village détestaient leur prochain. Des enfants aux plus vieux. Ce poison était l'air que respirait ces gens, il était l'eau et la nourriture qui les nourrissaient. Il s'introduisait dans leur maison pour faire son ravage. À cahque fois, c'était pareil. Même le plus jeune des bambins grandissait, non dans l'amour, mais dans la rage de ses parents. Bien sûr, certains se détestaient jusqu'à la mort. Ils étaient nombreux...ces meurtres a coup de pelles sur le crâne ou de coup de poignard au ventre. Les pleurs suivaient ranimant cette vicieuse flamme de la vengeance. Châtier une personne qui venait de punir une personne...Cela n'avait jamais de fin.

Dans tout ce carnage, il existait une seule et unique personne qui était pourtant immunisé par ce poison sanglant. Elle se nommait Marie White. Tout le monde l'appréciait et s'accordait avec elle. Étrangement, elle arrivait à calmer une dispute, à calmer les guerres. D'ailleure celle-ci supportait cette drôle, mais lourde ambiance. Ce fut alors celle qui fut choisit pour porter dans son ventre la prochaine malédiction. Celle qui metterait fin a celle déja présente. Les dieux étaient sûrement ennuyés de celle-ci. Lorsque Marie tomba enceinte, la confusion règna, car Marie était vierge, elle n'avait pas de petit-copain et encore moins de partenaire sexuel. Toute ces questions sans réponses restèrent durant ses neuf mois. Évidemment, Marie avait décidé de garder l'enfant, croyant à un miracle que lui envoyait la vie. Seulement, ce que tous ignoraient, c'était que pendant ces neuf mois, grandissait en une humaine le fruit de leur haine, du sang qu'avait souillé la terre déja rouge, des pleurs salés versés et du chaos qu'avait règné depuis trop longtemps. Tous ne méritaient qu'une chose...

La mort...

à l'accouchement, ce fut l'horreur. Les cris de Marie étaient déchirant, ils glaçaient le sang. La victime connue une souffrance jamais égalé dans l'ummanité. Ses os se brisaient un à un et de l'intérieur la créature déchiraittout sur son passage. Lorsque le coeur de Marie battu son dernier battement, la créature déchiqueta le ventre du cadavre. Ce fut devant tous les habitants de Witchwood que le nouveau né laissa entendre ces premiers pleurs du au changement d'environnement. Tous eurent un mouvement de recul. Les cris de l'enfant n'était pas semblable aux autres, ils étaient plus strident et plus perçant. C'en était désagréable. L'enfant s'arrêta alors de pleurer d'un coup. Il survola la foule du regard, puis il sourit, mais ce ne fut pas un sourire d'enfant, mais un sourire carnassé, celui d'un démon ! Son regard malsain plana un moment, puis il bougea. Il se mit sur le ventre avec une étrange agilité. Ce fut alors qu'il commença à grandir.

***

Lorsque j'étais venu au monde, je fus tout de suite amusée par ces regards inquisiteurs. Certains me regardaient avec dégoûts, d'autre avec horreur. Retrouvant un peu de ma force, je me roula sur le ventre. Lorsque je commença à grandir, je retins quelque gémissement de douleur. Les os grandissaient d'un coup et ce n'était pas très agréable, mais j'étais née pour faire vivre la douleur alors je ne me plaignis pas. Mon visage mûrit, mes cheveux poussèrent, mes formes naissairent à leur tour et le cordon obélical se déttacha de moi. J'étais toujours recouverte de ce sang que m'avait procuré ma mère défunte lorsque j'atteignis la maturité. Tout mes témoins étaient figés, le regard plaqué sur moi. J'avais grandis en quelque millième de secondes, accroupis, les pieds toujours à l'intérieur du corps, baignés dans le vieux sang encore chaud, parmis les organes de la femme qui m'avait mise au monde. En plus j'étais nue comme un ver, mais cela ne me dérangeait pas trop. Je porta ma main et l'examina avec légerté, puis je lècha le sang qui la recouvrait.

-Hum...tout ça est bien utile, dis-je à mes compagnons.

Je les fixa en retour et pencha légèrement la tête sur le côté. On aurait dit qu'il était paralysé par quelque chose. Par quoi ? Moi bien entendu ! Je souris alors avant de dire:

-bouh.

Les humains se bougèrent enfin un peu. Tous se mirent à courire voulant m'échapper. Mais on ne pouvait pas m'échapper. C'était peine perdu. Certains criaient tout en courrant, d'autre tombaient au sol à cause de leur maladresse. Je sauta au sol trouvant sous moi une texture plus solide et sèche que le cadavre, puis je me mis à marcher à travers le village. Mes bras fantômatiques s'agitèrent dans mon dos et avec un vitesse phénoménal, il vinrent exercer une telle pression sur le crâne d'un villageois que le cerveau de celui-ci de supporta pas le choc, le crâne explosa. Mes mains d'extra continuèrent leur manège avec les autres humains autour de moi. Aux yeux de n'importe qui d'autre, au aurait pu voir la tête des villageois exploser d'eux même. Ça devait être marrant. Je m'amusa alors à pointer mes prochaines victimes:

-Boum, boum,..., n'arrêtais-je pas de répéter lorsque le crâne explosait.

Je trouvais ça amusant. Le sang giclait partout, la matière grise flotait dans les marres de ce liquide vitaux, tous ces cris d'horreur, la peur ! Quel délice. Et pourtant lorsque mon carnage au village fût terminé, je m'aperçus que ce que je croyais finit ne l'était pas. Un humain avait eu la chance de s'enfuir de mon champs de vision, mais il n'allait pas s'en tirer ainsi. De toute façon, il reviendrait sûrement plus tard pour voir de ses propres yeux ce qui était arrivé. Je pris alors le temps de me baigner dans la rivière que je souilla du sang de ma mère tout comme celui des ses compagnons. Une fois ma peau dépourvut d'agents visqueux je me donna le droit d'emprunter des vêtements. Ceux-ci n'était pas de toute beauté, mais cela faisait l'affaire. Par la suite j'alla m'installer et j'attendis.

Le fou revint lorsque la lune trônait le ciel. Était-ce la peur qui rendait si idiot les humains ? Peut-être bien. Car ce villageois l'ignorait mais avec tout ce grabuge, j'avais faim et il allait me servir de repas. Je m'était même promis de ne laisser que les os pour mon premier dévorage humain. Le fou était arrivé en courrant et avec un...sac ? Il avait eu la brillante idée de voler ses compagnons maintenant qu'ils n'étaient plus. Il allait payer.

Je m'approcha de lui avec le silence d'un félin. Sur mon passage je pris un poignard au sol qui appartenait sûrement à l'une de mes victimes et lorsque le villageois fut à ma porter, mes mains fantômatiques attrapèrent l'ingras et le projeta contre un mur de pierre. Ma victime sembla vraiment surprise de ma venu et sembla vraiment peureux. Ce n'était pas cette fois que j'allais avoir un combat sérieux alors, j'allais m'amuser avec lui. Tout en m'approchant de lui le pauvre gémissait.

-Pitié...ne me tuer pas...au nom de Dieu, ne me tuer pas.

Il laissa son sac déja remplis de trésort et il se mit à prier. Je ris.

-Pauvre idiot. C'est ton Dieu qui m'envoit et...pitié ? J'ignore ce que cela signifie.

Je m'approcha de lui, le poignard à la mains et je lui fis une entaille sur la joue. Je le laissa alors tenter de s'échapper encore. J'offra mon arme à l'une de mes mains invisible pour que cette dernière fonce vers le fuyard et lui coupe le tendon d'Achille. Ma victime tomba au sol en criant de douleur. Douce musique à mes oreilles. Le fou, une fois son crit terminé commença à gémir des plus belle. A présent, il ne pouvait plus marcher sur sa jambe gauche. Je repris mon poignard entre mes mains et lècha le sang pour avoir un avant-goût. Parfait. Le voleur se redressa alors et sauta à une jambe. Je ris, il pensait vraiment que j'allais le laisser ? Mes mains fantômatiques fendèrent sur lui et lui cassa le bras droit. Mon plaignard chéri se remit à crier. Ça suffisait. Je n'en pouvais plus. Je me dirigea vers lui qui était de nouveau à terre et le souleva dans les airs avec mes bras d'extra.

-Hum, tu m'as bien amusé, mais maintenant, la partie est terminé.

La malheureux poussa un autre crit de peur ou de douleur lorsque je transperça son torse pour retirer son coeur.

Je mangea le corps en entier, mangeant d'abord le coeur, puis les yeux. Le reste suivis rapidement et une fois que le tout fut mangé, je n'avais plus faim. Cette nuit je fis la connaissance d'un démon, non pas un simple démon, mais un Archdiable. Nous avons sympathisé et nous sommes devenu compagnon de voyage.

Où as-tu découvert ce forum ? Par une amie

Quelque chose à dire ? ...